Dans La Tech va humaniser la santé, la biologiste Pascale Witz s’intéresse à l’évolution et au développement de nouvelles technologies dans le domaine de la médecine.

Pascale Witz est diplômée d’un master en biologie moléculaire de l’INSA Lyon et d’un master Business Administration, Economics & Marketing de l’INSEAD. Elle a été leader d’opinion dans l’industrie, encourageant l’utilisation de l’IA et de la Technologie pour améliorer l’efficacité des traitements au niveau individuel. Elle a mis en place la joint-venture  entre Sanofi et Google/Verily pour le Diabète en 2016. Pascale Witz est administratrice de plusieurs sociétés (USA, Allemagne, France), et conseille des dirigeants de Biotech et de MedTech. Elle a été membre du comité exécutif de Sanofi et Directrice Générale d’une société pharmaceutique acquise par GE Healthcare, ou elle a passé 17 ans. Pascale Witz est Présidente et fondatrice de PWH Advisors, un cabinet de conseil stratégique aux entreprises et investisseurs du monde de la santé. Elle est administratrice de l’Institut Aspen.

Dans La Tech va humaniser la santé, Pascale Witz démontre la nécessité d’utiliser les nouvelles technologies dans le domaine médical. Pour elle, la tech et la biologie convergent et l’innovation médicale s’ajoute à l’innovation technologique. Elles se synergisent. Lors de la discussion avec les membres d’Aspen, elle a expliqué comment la « tech » permet aujourd’hui de démocratiser l’innovation médicale et surtout d’humaniser la santé.

Pour Pascale Witz, la création d’un écosystème fort et résilient nécessite la collaboration de partenaires privés et publics sur le long terme et d’investissements importants. L’élaboration de nouveaux outils est importante pour aider les médecins à mieux diagnostiquer les patients. Elle se penche plus précisément sur la révolution de la radiologie et ses bienfaits.  

Quel est l’impact de la technologie sur les soins de santé? 

“Serons-nous capables de choisir les éléments de la technologie qui améliorent la qualité de vie et d’éviter ceux qui la détériorent ?” David Baltimore